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Ma femme et le plaisir de l’exhibition.
L'Histoire que je vais vous raconter est vraie et se déroule il y a douze ans alors que ma femme n'avait que vingt-quatre ans à l'époque. Nathaly est une petite femme mince, très délicate, mais assez bien proportionnée pour sa grandeur. Au fait, elle mesure 1,56m et pèse pas plus de 48 kg. Cheveux châtains lui tombant sur les épaules et des yeux verts incroyables, très attirants. Elle a de jolis petits seins fermes 85C mais sa plus grande particularité est son sexe plutôt étroit et proéminent, petites lèvres roses et courtes laissant son clito sans protection. Même les cuisses fermées, il reste un large espace, laissant sa petite chatte respirer l’air librement. Lorsqu’elle porte des jupes quelque peu ajustées, on remarque de toute évidence, une bosse au bas de son ventre, ce qui attire bien des regards.
Lorsque l'on s'est mariée, elle n'avait que 19 ans et n'avait jamais eu de relations stables avec un garçon. Je me considère chanceux d'avoir ma femme pour partager ma vie. Je suis sorti avec d'autres filles quand j'étais plus jeune, mais Nathaly est vraiment la plus jolie femme que j'ai connue. Même si elle n'est pas très grande, ma femme semble faire le désir de bien des hommes qui se retournent pour la regarder, lorsque nous nous promenons sur la rue, ce qui me rend fier.
Elle travaille comme secrétaire, dans un département du Gouvernement dont le gente masculin est omniprésent. De nature très féminine et délicate, elle prend toujours bien soin de sa personne et de son choix de vêtements. Elle ne porte pratiquement que des jupes ou de petites robes très ajustées, mi-cuisse, mais très classiques, due à son milieu de travail où elle doit recevoir des gens du public.
Jusqu'à présent, elle ressemble à un petit ange, mais comme tout le monde, un jour, j'ai découvert un petit jeu auquel elle se prête et dont j'ai conservé le secret plusieurs mois, expliquant probablement pourquoi elle ne porte que de petites culottes, pratiquement toutes de dentelle, très suggestives, qu'elle n'achète que dans des boutiques de fine lingerie et des soutient gorge avec un bonnet rigide, un peu trop grand pour ses seins.
Tous les matins, je vais la conduire au bureau car elle travaille au centre-ville et c'est beaucoup moins compliqué pour elle que d'essayer de trouver un stationnement en plus de payer un prix exorbitant.
Un jour comme un autre, nous arrivons à son bureau, stationné sur le bord du trottoir comme à l'habitude. Elle me jase un peu comme elle le fait toujours, mais sans me regarder vraiment, fixant surtout les gens qui sont à pied. Au moment ou trois hommes arrivent ensemble près de l'auto, elle m'embrasse sur la joue et me souhaite bonne journée. Elle ouvre grand la portière et s'écartèle largement pour sortir alors que les trois hommes se retrouvent à sa hauteur. J'ai observé les hommes qui ne se sont pas gênés pour plonger un regard entre ses cuisses, leur offrant une vue sans équivoque, sur sa petite culotte. J'ai eu un sentiment de jalousie, de honte, de la voir ainsi si insouciante, dévoiler cette nudité à de purs étrangers et en même temps, je ne lui ai rien dit, en éprouvant une certaine excitation sur ce qui venait de se passer.
Le soir venu, je suis allé la chercher et en arrivant à la maison, j'ai voulu lui faire plaisir en l'invitant à s'asseoir et que j'allais m'occuper de préparer le souper. Nathaly a quand même insisté pour me tenir compagnie à la cuisine. Elle est assise à la table avec une revue. Je lui apporte un petit verre de blanc et quand je m'approche alors qu'elle est accoudée sur la table et je regarde son chemisier ouvert légèrement me laissant voir son sein et son mamelon, dans le bonnet de son soutient gorge. Encore une fois, je ne passe aucune remarque, mais juste d'imaginer que tous les hommes du bureau doivent se remplacer pour venir la voir, me donne des sensations que je m'empresse de cacher. Les jours qui ont suivis, j'ai porté une attention particulière à ses agissements et de jour en jour, elle répétait toujours le même scénario. Elle attendait qu'un ou des hommes s'approchent de l'auto avant de débarquer et ouvrait largement ses jambes pour sortir. Elle le faisait peu importe le type d'homme, beau ou laid, mince ou gros, distingué ou voyou, sauf qu'un matin, un itinérant passait. L'homme était sale et sa senteur est venue jusqu'à moi. Elle a ouvert la portière, a sorti une jambe alors que l'homme la regardait comme si elle était un morceau de viande à dévorer. Elle est demeuré largement ouverte devant lui, prétextant chercher une clef dans le fond de son sac à main. Le guenillou est arrêté devant elle et regarde en direction de sa petite culotte qui ne cache à peine son joli petit sexe. Elle lui donne tout le temps voulu pour le laisser saliver en la regardant sans aucune gêne. Finalement elle se penche pour m'embrasser et sort de l'auto. J'entends l'étranger lui dire qu'elle a de très jolies cuisses, mais elle fait comme si elle ne l'entendait pas. Je ne me comprenais plus moi-même, me surprenant à me retrouvé bandé devant le fait qu'un étranger pouvait regarder aussi aisément son intimité.
J'ai été vraiment perturbé les jours qui ont suivis. Je me faisais plein de scénario sur des hommes qui s'approchaient d'elle pour regarder dans son décolleté pour voir un sein et même son mamelon ou la voir assise sur sa chaise, sa jupe un peu haute sur ses cuisses, juste assez pour voir sa petite culotte quasi transparente. Chaque fois que j'y pensais je devenais très excité.
Arrive le jour où j'ai décidé de percer sa bulle et lui faire avouer devant l'évidence qu'elle aimait se montrer à des étrangers. Un soir, après un souper dans un bon resto, arrosé d'une bonne bouteille de vin et digestifs, nous sommes allés terminer la soirée dans un petit pub sympathique, assez tranquille et avons commencé à discuter de tout et de rien. Nous étions assis au bar, sur des bancs assez haut. Elle était tournée vers moi, dévoilant ainsi ses cuisses aux gens assis aux tables. Par le miroir qui orne une partie du bar, je vois quatre hommes assis à une banquette et j'ai remarqué qu'ils regardaient en notre direction. Je trouvais la situation très excitante de sentir leurs regards sur ma jolie petite femme. L'alcool commençait à faire effet, me donnant plus de courage pour aborder le sujet. J'ai regardé ma femme et lui ai fait remarqué que trois hommes, assis un peu plus loin n'arrêtaient pas de la regarder. Je lui ai demandé de ne pas regarder en leur direction et de conserver sa position pour ne pas éveiller de soupçons. Elle m'a regardé, un peu surprise.
Nathaly: Pourquoi ne veux-tu pas que je me retourne?
Moi: Parce que je sais que tu aimes ça exciter des étrangers.
Elle me regarde et je vois qu'elle devient un peu mal à l'aise. Son visage a rougit par la gêne et me demande pourquoi je lui dis ça.
Moi: Avoue que ce n'est pas la première fois que tu dévoile certaines parties intimes.
Elle me regarde avec un petit sourire et semble très embêtées par la question.
Moi: J'ai découvert ton petit jeu, depuis un bon moment déjà.
Nathaly: Qu'est ce que tu dis? Je ne comprends pas.
Moi: Lorsque tu sors de voiture et que tu attends que des hommes passent avant de sortir et que tu écartèle largement tes jambes ou que tu te penche pour ouvrir ton décolleté et faire voir un sein dans un bonnet trop grand. Est-ce que tu veux que je continue ?
Elle me regarde, très timide et craintive de savoir que j'ai deviné son petit jeux.
Moi: Je veux que tu me dises que ça t'excite de te montrer comme ça, avoue...
Après un moment de silence, à réfléchir si elle doit m'avouer ou dénier elle avoue finalement, me disant que c'était plus fort qu'elle.
Nathaly: Est-ce que tu es fâché.
Moi: Au début, quand j'ai découvert ce que tu faisais, j'étais très en rogne contre toi et je ne savais pas comment gérer ça. Je t'ai laissé continué sans te laisser voir et j'ai commencé à trouver ça excitant que d'autres hommes te regardent au point de penser à certaines situations où je t'imaginais entre les mains d'étrangers, enlever tes vêtements et voir leurs mains partout sur ton corps nu.
Nathaly: Tu es sérieux? Ca t'excite vraiment ou c'est un piège?
Moi: C'est un peu ta faute, avoue. C'est toi qui as fait naître ce sentiment que je ne connaissais pas. Imagine les quatre hommes là-bas qui t'emmèneraient à leur chambre d'hôtel.
Nathaly: Je n'y crois pas. Tu cache quelque chose que je ne sais pas. N'importe quel homme aurait été fâché.
Moi: Tu ne me crois pas? Et bien je peux te le prouver.
Ma femme me regarde un peu inquiète, le visage en interrogation, attendant avec impatience où je veux en venir.
Moi: Tu aimerais ça continué à t'exhiber devant des étrangers?
Nathaly: Je le savais. Tu veux te venger et tu ne veux pas me le dire.
Moi: Écoute. Si j'avais été si fâché, j'aurais fait ma crise à la maison et on aurait eu une engueulade qui aurait laissé des cicatrices sur notre couple. Je te repose la question et je suis sincère. Est-ce que tu veux continuer à jouer à ce jeux, mais avec moi.
Nathaly: Vraiment, tu accepterais une situation semblable dans notre couple. Me voir offrir mon intimité à des étrangers.
Je me penche vers elle, pose ma main derrière sa tête pour la rapprocher et lui donne un baisé fougueux. Je la regarde dans les yeux et lui dit sincèrement "Oui"
Moi: Seras-tu prête à tenter une première expérience, là, ce soir???
Nathaly: Qu'est ce que tu as en tête? (Avec un petit sourire inquiet)
Moi: Tu vas faire remonter ta jupe un peu plus haut et te tourner discrètement vers les quatre hommes, là bas. Ensuite, détache un bouton de plus à ton chemisier sans qu’ils te voient.
Nathaly : C’est vraiment ce que tu veux. Tu veux vraiment me voir m’exhiber à ces hommes?
Moi : Ce n’est pas ce que tu aimes faire et en plus je suis là, comme complice.
Nathaly : Oui, mais avant c’est moi qui contrôlait et décidait à qui et quand je voulais montrer.
Moi : Et entre les deux, qu’est ce qui est le plus excitant?
Nathaly : Je ne sais pas. J’ai un peu peur à cause de la situation mais oui, c’est plus excitant maintenant.
Ma femme allonge le bras pour poser son verre sur le bar et je vois sa main tremblotante. Elle me regarde en faisant quelques gestes du bassin pour voir sa jupe remonter assez haut sur ses cuisses au point de voir un peu sa petite culotte. J’ai le cœur qui se met à battre quand je vois le dessin de ses lèvres et la couleur de son poil que laisse paraître la fin tissue de dentelle. Ensuite, d’un geste rapide, élargie un peu plus son décolleté en défaisant un bouton. Toujours en me regardant, je la vois se tourner vers les hommes avec finesse. Sa respiration devient rapide, va chercher son verre déposé sur le bar. Son verre tremble dans sa main qui est devenu incontrôlable.
Nathaly : Je n’ose pas regarder. Tu me diras, toi, ce qu’ils font.
Moi : Continue de regarder ailleurs car il y en a déjà un qui te regarde. Fait semblant de faire un geste maladroit et écartèle toi un peu plus, comme si tu voulais être plus à l’aise.
Je vois ma femme croiser les deux pieds, ce qui fait ouvrir un peu plus ses cuisses. L’homme ne peut garder ce qu’il voit juste pour lui. Il tape sur l’avant-bras de son voisin et lui fait signe de regarder. La situation s’envenime mais je ne peux m’empêcher de continuer à les laisser savourer l’intimité de ma jolie petite femme. Finalement les quatre ne se gênent pas pour la regarder sans aucune pudeur. Nathaly avait le souffle coupé alors que je lui décrivais que ces étrangers la dévorait et salivaient de voir sa petite culotte.
Une fois notre verre terminé nous décidons de partir en sauvette car nous étions un peu inquiets tous les deux car les hommes semblaient un peu trop s’intéressé à ma jolie petite femme.
Une fois arrivé à la maison, nous avons fait baisé comme jamais et je n’avais jamais vu Nathaly déchaînée et avoir des orgasmes aussi puissants. La reprenant une troisième fois, j’étais allongé sur elle, mon sexe bien au chaud dans sa petite chatte, la pénétrant par de longs mouvements lancinant. Elle recommence déjà à gémir en me serrant très fort. Pour l’exciter encore plus, je lui fais revivre quelques moments de la soirée en lui chuchotant à l’oreille.
Moi : As-tu aimé cette soirée?
Nath : Oui mon chéri.
Moi : Est-ce que tu aimerais recommencer, demain soir?
Nath : OOuuuiiii, avec toi.
Moi : As-tu eu peur de ces hommes, ce soir?
Nath : Ooouuiii! J’avais peur de les voir se lever et s’avancer vers nous.
Moi : Est-ce que ca t’excitait ?
Nath : Ooouuuiiii….
Moi : Est-ce que tu aurais aimé les voir venir vers toi?
Nath : Huummmoouui!
Moi : Si j’étais là, aimerais-tu te faire baiser par des inconnus?
Nath : Oouiii! Ce que tu veux mon chéri.
Après avoir jouit une nouvelle fois et les esprits plus calmes, je suis revenu sur la dernière question que je lui avais posé, la serrant tout contre moi, dans mes bras.
Je lui ai demandé si elle aimerait vraiment sérieuse sur la dernière réponse et elle m’a demandé si j’étais vraiment sérieux sur la question que je lui avais posé. On s’est regardé un moment dans les yeux et je lui ai demandé si vraiment elle aimerait tenter l’expérience. Elle a descendu sa main sur mon sexe pour me caresser et m’a affirmer qu’elle le ferait, si j’étais là, avec elle. Le lendemain soir allait être notre première tentative et on était excité tous les deux à l’idée de se lancer dans une telle aventure.
Suite à venir…
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